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Essai Mercedes SL500

L’art du compromis

Archétype de la GT classique, la SL nouvelle nous revient plus puissante et plus légère, tout en conservant le moelleux d’une limousine. Le meilleur de deux mondes.

Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 arrière droit filé penché vue de haut Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 avant gauche filé Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 avant gauche filé vue de haut Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 avant gauche Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 arrière droit travelling fermé Mercedes SL500 anthracite mate profil Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 avant gauche vue de haut Mercedes SL500 anthracite mate jante Mercedes SL500 anthracite mate jante 2 Mercedes SL500 anthracite mate intérieur Mercedes SL500 anthracite mate tableau de bord Mercedes SL500 anthracite mate profil vue de haut 2 Mercedes SL500 anthracite mate filé vue de haut Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 avant gauche travelling vue de haut Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 arrière gauche travelling fermé Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 avant gauche travelling fermé penché Mercedes SL500 anthracite mate profil vue de haut Mercedes SL500 R231 anthracite mate 3/4 avant droit Mercedes SL500 R231 anthracite mate intérieur Mercedes SL500 R231 anthracite mate 3/4 avant gauche Mercedes SL500 R231 anthracite mate 3/4 avant gauche travelling Mercedes SL500 R231 anthracite mate 3/4 avant gauche travelling penché 2 Mercedes SL500 R231 anthracite mate 3/4 arrière droit travelling penché Mercedes SL500 anthracite mate 3/4 arrière gauche travelling Mercedes SL500 R231 anthracite mate 3/4 avant gauche travelling penché
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Sport Leicht (Sport et Légèreté), telle est la signification de l’acronyme SL, depuis le lancement du premier modèle, en 1954.

Une dénomination qui a quelque peu perdu son essence à travers le temps, les SL s’étant un brin empâtées sous le poids des ans.

La dernière née fait un régime minceur : elle s’offre une cure intense de métaux légers.

Ce coupé-cabriolet à toit rigide escamotable est en effet désormais moulé presque entièrement en aluminium, de la coque aux ouvrants. La nouvelle SL 500 pèse ainsi 125 kg de moins que l’ancienne (soit 1.785 kg au total).

Seuls les montants du pare-brise font encore appel à l’acier classique, pour mieux résister aux chocs. Sous le capot étoilé de ce long coupé-cabrio (4,62 m), outre les furieuses versions AMG (SL 63 et 65 AMG), on trouve un gentil petit 3.5 V6 atmosphérique (SL 350) et un 4.6 V8 biturbo (SL 500).

C’est ce dernier moteur auquel nous avons goûté.   

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