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Essai Alfa Romeo 4C Spider

La tête dans les nuages

Quelle excitation de retrouver l’Alfa Romeo 4C qui plus est dans cette version Spider. L’occasion pour l’italienne au caractère bien trempé de nous offrir plus d’émotions mais également d’échapper à un léger sentiment de claustrophobie que l’on pouvait ressentir à bord du coupé. 

Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant gauche Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 arrière droit penché 2 Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant droit 2 Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant droit travers Alfa Romeo 4C Spider rouge intérieur 2 Alfa Romeo 4C Spider rouge volant Alfa Romeo 4C Spider rouge commandes console centrale Alfa Romeo 4C Spider rouge moteur Alfa Romeo 4C Spider rouge face arrière penché Alfa Romeo 4C Spider rouge filé Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant droit Alfa Romeo 4C Spider rouge profil Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant gauche travelling penché Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant droit travelling Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant gauche travers Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 arrière droit penché Alfa Romeo 4C Spider rouge tableau de bord Alfa Romeo 4C Spider rouge compteurs Alfa Romeo 4C Spider rouge intérieur Alfa Romeo 4C Spider rouge capote Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 arrière droit Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant gauche 2 Alfa Romeo 4C Spider rouge 3/4 avant gauche
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Comme à l’accoutumée c’est sur le tracé de Balocco en Italie qu’Alfa Romeo nous a invité à prendre le volant de sa petite sportive. Quel meilleur terrain de jeu que cette piste qui a servi au développement de tant d’autos emblématiques ? Nous aurons par ailleurs l’indiscrétion d’apercevoir le SUV Maserati en pleine phase d’essai suspensions. Mais chut ! Nous avons promis de garder le secret. Tout juste pouvons-nous vous dire que son look agressif et son imposante carrure devraient faire trembler  la concurrence.

A ses côtés notre 4C Spider fait figure de jouet. Mais quel jouet ! La ligne reste quasiment inchangée à l’exception des optiques avant Xénon qui remplacent les horribles feux à LEDs du coupé et de la partie arrière revue pour répondre aux exigences d’un décapsulage. Le travail effectué par les designers offre encore plus de dynamisme à l’auto. Seul bémol : comme sur le Ferrari 458, la vitre moteur disparaît ce qui gâche un peu le plaisir visuel. Si elle perd son toit, la 4C Spider conserve ses bonnes intentions et affiche un poids « plume » de  940 kilos à vide soit 45 de plus que le coupé. Une donnée symbolique et une promesse de produire une auto pesant moins d’une tonne. Nous n’avons pas pu vérifier ces chiffres.

Pour contenir le poids les ingénieurs d’Alfa Romeo ont choisi un système de toile à bords rigides. La manipulation est très facile et prend moins d’une minute. Pratique en cas de pluie soudaine. Mais il y a un prix à payer, et c’est le coffre à bagages qui en fait les frais : déjà peu spacieux dans la version coupé, il accueille cette fois-ci le toit une fois que vous roulez décapoté. Pour vos bagages, vous n’aurez plus qu’à vous rabattre sur la pochette porte-documents située entre les sièges et sur le porte-gobelet. Un peu léger pour partir en week-end non ?



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