Avertisseurs de radars
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A bord d'une Mercedes E500, nous croisons tranquillement à 200 compteur sur une autoroute étrangère. Milieu de journée, la circulation est légère. Tout est calme, le compte tours indique moins de 3 000 tours. Devant nous, une BMW M5 montre le bout de ses quatre sorties d' échappement. On devine le V10 prêt à monter dans les tours. Une furieuse envie nous envahit: et si on profitait de la circulation clairsemée, de cette longue ligne droite, de cette visibilité parfaite pour faire une pointe? Elle accélère, nous aussi: 210...220...230... Bip Bip Bip Bip Bip... STOP!
Nous ne sommes plus dans les années 70, 80 ou même 90, ou une certaine liberté sur les routes nous permettait de nous déplacer le coeur léger. Partout, ils sont là. Ils "veillent" sur nous… Que ce soit cachés dans leurs gros boitiers, cachés devant ces voitures garées au bord des autoroutes, cachés dans des poubelles (!) ou encore fondus dans les buissons (voir les news). Vous l'aurez compris, on parle bien des radars.
Pourtant si l'on veut profiter de sa monture en 2009 ou tout simplement rouler sur l'autoroute sans avoir les yeux rivés sur le compteur, il existe encore quelques solutions. Le circuit est un palliatif, mais que faire tous les jours? Une solution est apparue: les avertisseurs de radars. Sont-ils vraiment légaux? Soyons clairs: en France ou en Belgique notamment, ils sont tout à fait réglementaires. Les avertisseurs sont autorisés à l'inverse des détecteurs de radars. Quand les premiers se basent sur des points d'intérêt GPS (comme votre GPS qui vous indique parkings ou stations d'essence), les seconds, eux, détectent directement les ondes des radars en fonctionnement. Ce qui est strictement interdit. Reste néanmoins le cas de la Suisse où avertisseurs comme détecteurs sont interdits. Attention, quand vous passerez la frontière!
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